sábado, 30 de octubre de 2010

2010: CINQUANTIÈME ANNIVERSAIRE DU DÉCÈS D'ALBERT CAMUS

« L'envers et l'endroit », el primer libro de Albert Camus publicado en Alger en 1937, narra la vida de un muchacho de veintidós años en el barrio argelino de Belcourt. Un testimonio conmovedor de la inocencia de la infancia en un universo en donde « la misère est une forteresse sans pont levis”.
« L’envers et l’endroit » y su « espejo » « Le Premier Homme », su libro póstumo " confirman las palabras que Camus escribiera en el prólogo de su reedición en 1958, unos años antes de fallecer : « Si j'ai beaucoup marché depuis ce livre(« l’envers et l’endroit »), je n'ai pas tellement progressé".

¿Quién es Albert Camus? :

http://www.tv5.org/TV5Site/webtv/video-6857-Albert_Camus_ou_l_engagement_intellectuel_d_Oran_a.htm

jueves, 7 de octubre de 2010

De l'image au texte-Identification

Observez cette image;il s'agit d'un vitrail de la cathédrale de Chartres.Qui est ce personnage? Qu'est-ce qu'il fait?
Pour faciliter votre tâche, vous pouvez consulter le texte "La chanson de Roland". Signalez la(les) laisse(s) qui correspond(ent) à l'image et les vers concernés.

miércoles, 29 de septiembre de 2010

L'ORIGINE DES OCÉANS


C'était la nuit. Une nuit sombre et froide parce que c'était la nuit des temps. Rien n'existait dans l'Univers, sauf les dieux, qui étaient des géants aux grosses mains et à la voix de tonnerre qui retentissait dans le vide.
Ils étaient faits de tourbillons d'énergie créatrice; celle-ci s'éparpillait sans cesse donnant origine à des galaxies et à des mondes.
Un jour,un de ces géants s'ennuyait tellement qu'il commença à bâiller; de son haleine partit un nuage tout rond qui flâna dans l'infini pour devenir finalement une planète. C'est comme ça que notre planète naquit, inanimée et muette, recouverte seulement par des montagnes et des vallées. La vie n'existait pas encore.
Un autre jour, l'épouse du géant décida d'envoyer ailleurs ses enfants turbulents pendant qu'elle massait le pain, à condition qu'ils reviennent pour le dîner. Alors les petits, profitant de la distraction de leur mère, allèrent jouer sur la Terre. Ils marchèrent tant qu'à l'instant-même ils étaient perdus. La nuit arrivée, les enfants se reposèrent dans une vallée et voilà que leur énergie diminua, se transformant premièrement en rochers, puis en cailloux et finalement en fin sable blanc.
La mère géante partit vite pour la Terre en quête de ses petits; inutilement...Quel malheur! Désespérée, elle tomba dans un puits sableux et elle se mit à pleurer jusqu'à se fondre en larmes. Et voilà qu'elle devint océan profond et salé.
Aujourd'hui, on croit qu'elle se repose au fond de la mer avec ses enfants de sable et son mari- le géant- qui la fouette parfois de son haleine puante d'orages.
C'est la raison pour laquelle "la mère"-mer profonde et salée a un mouvement perpétuel.

lunes, 27 de septiembre de 2010

Légende- Auteur: Giorgina C.

Légende- Pourquoi la mer est-elle salée ?

Il était une fois une très vieille femme qui vivait près de la mer. En ce temps-là la mer n’était pas salée. Tous les soirs, quand la vieille femme préparait sa soupe, elle allait chercher de nombreuses épices pour la corser, mais c’était inutile, elle restait toujours insipide. Lassée de devoir toujours manger la même chose, un jour la femme a décidé de chercher une solution. Sachant qu’au milieu de la forêt habitait un lutin qui parfois travaillait comme mage professionnel, elle est allée le chercher –même si elle n’était pas habituée à quitter sa maison- pour qu’il l’aide à trouver une solution magique, car les gastronomiques semblaient ne fonctionner guère.

Elle savait bien que ce serait une tâche difficile, étant donné que les lutins généralement se cachaient dans la forêt et étaient, donc, très difficiles à rencontrer. Cependant, cette fois-ci, ça a été différent. En se promenant par l’avenue principale du bois, elle a vu partout de larges écriteaux qui, en grosses lettres rouges, disaient : « Maison du lutin-mage : 3km. Magie professionnelle, services à domicile ou chez nous. Confidentialité totale. On peut payer en espèces, par carte de crédit ou par chèque. Première session gratuite ».

Un peu étonnée, car elle n’était pas habituée aux personnages fabuleux si ostensibles, elle a suivi songeusement les écriteaux un peu inquiète qu’il s’agisse d’un piège. Il ne l’était guère. En effet, elle a trouvé la maison du lutin très facilement et a été reçue par lui-même, assis dans un bureau au jardin.

- Salut, madame ! Que puis-je[1] faire pour vous ?

-Vous êtes le lutin-mage? » - demanda-t-elle encore surprise.

-Oui, maintenait en plus d’être lutin et mage, je suis mon propre secrétaire. D’ailleurs, je sous-loue ma maison, ce qui veut dire que je suis aussi réceptionniste, gérant et femme de chambre. C’est la crise, vous voyez ?

-Vous aussi avez été frappé par la crise ?

-Mais bien sûr ! Toutes les économies son liées, mêmes celle des lutins. Mais si vous voulez une explication plus détaillée, vous devriez suivre mes cours d’économie. Je donne des leçons de rattrapage pour des élèves universitaires. Seriez-vous intéressée ? Si vous vous inscrivez avant le 1er mars, je peux vous offrir une déduction de 10%. Mais si vous vous décidez maintenant, on pourrait négocier 15%, et si…

- Arrêtez, arrêtez, exclama-t-elle perplexe. Il avait parlé si vite et d’une manière si convaincante, qu’elle se demandait même si elle avait besoin des cours de rattrapage ,elle, qui avait déjà fini la fac il y a longtemps[2] -J’ai besoin d’une solution magique pour rendre ma soupe plus savoureuse.

-Ça peut s’arranger très facilement. Je peux vous offrir cette potion qui va certainement vous aider. Mais j’ai une condition. Moi aussi, j’en ai marre de la soupe insipide, donc j’aimerais bien goûter un petit peu de votre soupe, après que vous ayez utilisé cette potion. Si vous acceptez, je peux vous l’offrir à seulement 3 euros.

-Marché conclu ![3] Je prépare la soupe et je reviens avec un bol pour vous.

Mais elle n’a pas eu de chance. Elle avait décidé de rentrer chez elle en marchant par le bord de la mer, car elle voulait se détendre et observer la nature . Pourtant, elle n’a pas pu s’empêcher de voir avec surprise de grosses cigognes avec des écriteaux de néon qui disaient : « Époque de remises. Un bébé pour 20 euros, deux pour 30 ! »

Aussi éblouie qu’ébahie, elle a trébuché sur une boîte vide de coca-cola en tombant et en cassant le flacon de la potion, laquelle, comme un fil doré, s’est versée dans la mer. Ainsi, elle a vu comment le fil se perdait parmi les vagues, se confondait, jusqu’à se fondre avec elles. Espérant ne pas avoir nui à l’environnement (elle était une écologiste zélée), elle s’est approchée au bord de la mer pour mesurer les dégâts.

Heureusement, la mer ne semblait mas polluée, donc, elle a osé goûter. Fascinée, elle a découvert qu’elle était extrêmement salée et savoureuse : c’était la soupe de ses rêves. Alors, elle est allée chercher le lutin, pour qu’il goûte à son tour cette erreur devenue réussite. Lui, content de pouvoir manger finalement le plat convoité et surpris de la résilience et de l’habileté de la vieille dame, lui a proposé de devenir son associée. Elle, qui détestait être à la retraite, a accepté et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours, en gérant ses affaires ainsi que les filiales qu’ils ont installées dans le monde entier.



domingo, 1 de agosto de 2010

CONTE AFRICAIN:L'AMOUR RÉCOMPENSÉ
Il y avait dans un pays, un jeune homme dont les parents, à sa naissance, avaient consulté Ifa. Et Ifa leur avait dit:"Cet enfant ne doit pas se marier".
Il grandissait, quand un jour au marché passant près de l'étalage d'une jeune fille, il s'entendit interpeller ainsi:"Jeune homme, je veux devenir ta femme". Il connaissait l'ordre d'Ifa et se contenta de répondre:"Je ne puis me marier". La jeune fille écouta, mais, résolue à devenir sa femme, elle passa outre.
Apprenant un jour que le jeune homme demeurait non loin de là, la jeune fille alla le trouver, lui parla et fit tant et si bien qu'il accepta de la prendre pour épouse.
Conte populaire de la république du Bénin

Voici la suite que Carmen a proposé à ce conte africain:

Le jeune homme accepta donc de se marier à condition de le faire en cachette pour ne pas s'exposer à une possible malédiction.
Ainsi, une fois mariés, jour après jour, au bout de chaque soir, le jeune homma laissa sa chambre pour se rencontrer avec sa bien-aimée et passer avec elle toute la nuit jusqu'au petit matin.
Un beau jour, la mère s'apercut de ce que faisait son fils et décida de chercher le pourquoi de tel étrange comportement.
A cet effet, elle le surveilla de près, le suivit pendant quelques jours et arriva à la conclusion que son fils passait toutes les nuits chez une jeune fille qu'elle ne connaissait pas. Désespérée, elle décida de consulter les sorciers pour qu'ils confirment ce qu'elle pressentait réellement. Ils la rassurèrent et lui racontèrent une histoire incroyable sur l'identité de la jeune fille avec laquelle ils avaient des liens de parenté étroits.
Les caprices du hasard avaient permis que ces jeunes, jusqu'à maintenant inconnus, se rencontrèrent, tombèrent amoureux et décidèrent aussitôt de se marier.
Ce que Ifa oublia de dire aux parents à la naissance de leur fils fut que le maléfice prévu s'annulerait si le mariage se produisait avec une fille liée à eux par parenté.
Acceptant la situation, rassurée, la mère courut chercher son fils pour lui raconter la bonne nouvelle et lui dire que, d'ores et déjà, ils pouvaient sortir du secret.
Lorsque les mariés abandonnèrent l'anonymat, on entama les préparatifs pour fêter l'union et, dans l'avenir, vivre dans le bonheur.
Morale: il ne faut jamais désepérer dans la vie, le bonheur peut arriver sans que personne n'imagine quand ni comment.

miércoles, 21 de julio de 2010

Cherchons des expressions avec...

Céleste!
1) Les espaces célestes (ceux qu'ont conquis nos footballeurs)
2) La voûte céleste (celle de notre pays après le Mondial de foot)
3)Couleur bleu céleste ( le maillot de Forlán)
4)manne céleste (ce que nos héros devraient manger)
5)une beauté céleste ( celle de Fuccile)
6)un sourire céleste (celui de Tabárez aux conférences de presse)
7)Le Père Céleste ( le Russe Pérez)
Anonyme céleste

martes, 6 de julio de 2010

JUILLET LE MOIS DU THÉÂTRE. À vous de trouver le nom de l'auteur et de la pièce

(...)
Claire: Elle, elle nous aime. Elle est bonne. Madame est bonne! Madame nous adore.
(...)
Solange: Sa bonté! Ses diam's! C'est facile d'être bonne, et souriante, et douce. Quand on est belle et riche! Mais être bonne quand on est une bonne! On se contente de parader pendant qu'on fait le ménage ou la vaisselle. On brandit un plumeau comme un éventail. On a des gestes élégants avec la serpillière. Ou bien, on va comme toi, la nuit s'offrir le luxe d'un défilé historique dans les appartements de Madame.
(...)

jueves, 1 de julio de 2010

JUILLET LE MOIS DU THÉÂTRE. À vous de trouver le nom de l'auteur et de la pièce


(...)
Ismène : Tu n'as donc pas envie de vivre , toi ?
Antigone : pas envie de vivre...Qui se levait la première , le matin, rien que pour sentir l'air froid sous sa peau nue ? Qui se couchait la dernière seulement quand elle n'en pouvait plus de fatigue, pour vivre encore un peu de la nuit ? Qui pleurait déjà toute petite , en pensant qu'il n'y avait tant de petites bêtes, tant de brins d'herbe dans le pré , et qu'on ne pouvait pas tous les prendre ?

Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu'il faut aimer coûte que coûte... Moi, je veux tout, tout de suite, et que ce soit entier, ou alors je refuse! Je ne veux pas être modeste , moi, et de me contenter d'un petit morceau, si j'ai été bien sage.
(...)

martes, 29 de junio de 2010

Hola a todos los alianzófilos y afines.
Henos aqui de pseudo vacaciones, es decir, de semi vacaciones pues exámenes, pues limpiar un ropero polvoriento, pues aprovechar y meter tres consultas médicas en una semana, pues sí, pero de vacaciones al fin.
Un recuerdo lindo, el del día de la fête de la musique, que estuvo de más. La preuve de que se necesita sólo de un poco de ganas para pasarla bien, y de pocos rubros también. Gracias a los profes que trabajaron en ello y a los alumnos que cantaron con todas sus fuerzas.
Gracias a los alumnos músicos y sus amigos, a Gregoire y su banda.
Es evidente que el mundial nos tiene de un humor super bueno y muy estrafalario para los uruguayos, pero está bueno aprovechar de estos días de bonanza para pensar cosas así de lindas y de disfrutables.
Bonnes vacances!

lunes, 7 de junio de 2010

Ça vous dit?

Michelle m'a fait découvrir cette chanson que j'ai bien aimée et que je voudrais partager avec vous.
http://www.youtube.com/watch?v=IEexx5BR5eY

Respire - Mickey 3D

et puis en juin (le 5 juin) on célèbre aussi la Journée Mondiale de l'environnement
et puis nous avons le cd audio à la Médiathèque
On pourrait faire d'une pierre deux coups.

sábado, 5 de junio de 2010

fête de la musique!!!!


Salut, élèves et professeurs de l'Alliance! Puisque Karine a lancé l'idée d'organiser notre fête de la musique apparemment pour le 25 juin,ce serait bien de profiter de notre espace blog pour échanger des chansons qu'on aimerait travailler dans les cours. Ca vous dit?
Allez, ce serait bien de collaborer depuis notre espace commun!
Soledad

jueves, 3 de junio de 2010

Déborah, Quique y "Aquiles y su talón"

En el espacio de la mediateca
Déborah
compartió con nosotros
su nuevo libro de poesía
"Talón de Aquiles"

26 de mayo 2010. "Día Nacional del Libro". Alianza Francesa

http://www.youtube.com/watch?v=8Fj--skQHQs

sábado, 29 de mayo de 2010

... POUR AMUSER LES PLUS PETITS, PETITS, PETITS


je ne savais pas que nous les lecteurs,
nous avions des droits. Merci M. Pennac!





tu as vu la tête de la dame qui dévore un livre, là-bas au fond?



la nouvelle "technologie book",
qu'est-ce que c'est drôle!

martes, 25 de mayo de 2010

Alianza Francesa Día del Libro en Uruguay - À vous de lire en France

Un día antes del día del libro las clases tercero y cuarto vinimos a escuchar la narración de una poesía que nos contó la bibliotecaria Rosario y nos actuó cada cosa que pasaba mientras que contaba la historia "Le hareng saur" de Charles Cros



Florencia Rodriguez Puig
4 año Alianza Fransesa

Michelle nous a lu les droits du lecteur d'après Daniel Pennac

D'après "Un siècle d'humour français"

Les livres sont des amis parfaits. Ils sont accueillants et discrets. Ils écoutent tout ce qu'on leur raconte et se gardent de le répéter.
Aucune indulgence ne peut être comparée à la leur.
Il n'y a qu'une chose qu'ils ne peuvent souffrir, c'est d'être prêtés.
Quand on les prête, ils sont si vexés qu'ils ne reviennent jamais!

viernes, 21 de mayo de 2010

Día Nacional del Libro: Presentación de "Talón de Aquiles" de Déborah Eguren - Miércoles 26 de mayo a las 19 y 30 horas en la Alianza Francesa

"El encantamiento de la poesía de Déborah Eguren es múltiple: está la concisión, la brevedad cincelada, ese aire imperturbable que conjuga transparencia y muestra la verdad del espacio y los espacios de cada sonido, esa altura con vocación de absoluto desde donde puede verse el mundo mejor y de otro modo. Pero por sobre todo es el hechizo de una extraña sabiduría el que comparece en estas palabras, un nuevo conjuro que da vida y brilla intensamente". Rafael Courtoisie

Esta destacada docente de literatura y coordinadora de talleres literarios nos invita a disfrutar este espectáculo poético-musical en el que participarán junto a ella la actriz y dramaturga Laila Reyes Abadie y el guitarrista Enrique Rodríguez.

Miércoles 26 de abril 19 y 30 h
Alianza Francesa
Br. Artigas 1271


miércoles, 19 de mayo de 2010

Una anécdota

Hace unos años asistí a parte de una charla sobre la lectura que dictara el escritor Daniel Pennac en la Alianza Francesa.
En un momento Pennac nos cuenta que cuando era profesor les pedía a sus alumnos que memorizaran un fragmento de un libro para luego recitarlo en clase. Me imaginé la rabia que esos alumnos deberían de haber sentido... Y recordé la mía cuando a fin de año tenía que recitar una poesía en el examen oral de la Alianza (después de haber aprendido seis o siete de memoria) . O la rabia que me daba cuando llegaba el momento del dictado o cuando lo maestra nos hacía hacer las planas. Pero mucho me sorprendió que Pennac nos diera ese ejemplo supuestamente para incentivar la lectura.

¿Cómo es esto? ¿Placer u obligación?

Luego entendí cuando nos contó una anécdota:
"(Me) encontraba en el hall de espera de un aeropuerto cuando de repente un piloto se me acerca y me dice: "¿Cómo le va profesor?". No reconocí a esa persona ya entradita en años...que comenzó a recitarme un fragmento de "Los tres mosqueteros". Luego me dice: "Gracias a Usted cuando conecto el piloto automático leo." Y entonces le contesto: "Me tranquiliza mucho si Usted es el piloto del avión en el que voy a viajar..."

martes, 18 de mayo de 2010


Pensando en esta semana del libro que se acerca, recordé aquellos días de mi adolescencia abocados a la lectura de un entrañable libro de Hermann Hesse, "El lobo estepario".
Creo que fue en esos días que me di cuenta que un libro puede ser peligroso, de tan vivo, de tanto que se nos mete en el alma y nos conmueve. Es cierto que en esos días tuve la absoluta certeza de que ese libro cambiaba mi vida para siempre. Y creo que fue así.
En un gesto de generosidad y por querer compartir algo trascendente, le regalé "El lobo estepario" a mi mejor amiga el día de su cumpleaños. Unos dias después, y en un tono de profundo reproche, ella me declaró al teléfono: "-Por tu culpa casi me vuelvo loca".
Soledad

sábado, 15 de mayo de 2010


Escribo
pienso
leo
traduzco veinte páginas
escucho las noticias
escribo
escribo
leo.
Dónde estás
dónde estás.

IDEA VILARIÑO (1968)

miércoles, 12 de mayo de 2010

26 DE MAYO: DÍA NACIONAL DEL LIBRO - DU 27 AU 30 MAI: À VOUS DE LIRE


Te invitamos a escribir aquí un fragmento del libro que tú quieras. También podrás comentar tus impresiones de los que escogieron los demás y de los que leeremos en la Mediateca del 17 al 26 de mayo.
En mayo, en la Mediateca y también en Garabatos du Sud "vení que te cuento".

viernes, 7 de mayo de 2010

Production écrite d'intermédiaire 2-Mai 2010-

Pour commencer ce récit, je dois dire que j'aime beaucoup lire. Je ne peux pas imaginer la vie sans livres.
Depuis mon enfance, quand j'ai commencé à lire à l'âge de 4 ans,ma passion pour les livres a augmenté. Mon grand-père m'a enseigné à lire et mon père m'a transmis l'amour pour la lecture. C'était un grand lecteur et chez moi, les livres étaient toujours à la portée de la main.
Quand j'étais un jeune homme,d'habitude,je voyageais en bus, un livre à la poche, surtout des livres de science-fiction.
Au cours du temps, tout type de lecture est passé par mes mains (et sous mes yeux). Je préfère les romans historiques comme ceux de Rouon, les romans policires comme ceux de Vazquez Montalban, typiques romans noirs. J'aime aussi les livres politiques et tout type de livres, écrits avec intelligence.
J'ai découvert les auteurs japonais, comme Murakami, qui sont très intéressants.
Je n'ai pas le temps de lire tout ce que je veux, mais quand je suis en train de lire, c'est un moment de plaisir!
FERNANDO C.,médecin

À vous mettre l'eau à la bouche!

(....)On peut prendre un livre comme un fruit; on le tâte, on le soupèse; sa couverture est une peau luisante et fraîche, pomme ronde, sans aucune tache ni rousseur, à mâturité, pomme à manger au couteau, pagination ouverte, le mystère n'est plus dans le regard mais dans la lecture. On ne lit pas un fruit, mais on dévore un livre des yeux. Habitudes, mouillure des lèvres sur la chair, blancheur des marges, senteurs, de quel arbre fuitier est tombé le livre?

J'aimerais que tout se passe avec la même réserve. On enlève la peau, on lisse la page de la paume de la main; où sont le coeur, la semence, la coupe? C'est frais, net avant que la première page ne soit ouverte, la première tranche; tout est encore translucide, opalin; les caractères ont la noirceur des pépins; chaque mot a sa germination, parfois stérile, parfois se développant dans des conditions incroyables, imbibiés d'encre mais sans la luisance de la graine, la goutte d'encre profanée, livre-fruit, à détacher de son auteur, à cueillir, à déposer dans le panier percé de notre intelligence. (...)

D'après "Lectures". Jean Cayrol

jueves, 6 de mayo de 2010

Un libro y yo

Entre tú y yo, una gran confabulación: dejar pasar a la gente sin que se nos vea y dejar de llamar al tiempo para que nos de una enorme tregua. Entonces nos instalamos donde sea, qué más da, y empezamos a conocernos. Tu letra y mis ojos, tu papel y mis manos, tu historia y mi cerebro.
Lo demás no cuenta, lo otro no existe y el desafío será si puedes tú con mis ansias de enamorarme y puedo yo con tu permanencia impávida.
Tú,libro, yo, gente.Hola...

miércoles, 21 de abril de 2010

Mondo

En classe, nous avons lu un extrait de "Mondo et autres histoires" de Le Clézio. Le voici:

La fièvre
Personne n'aurait pu dire d'où venait Mondo. Il était arrivé un jour, par hasard, ici dans notre ville, sans qu'on s'en apercoive, et puis on sétait habitué à lui. C'était un garcon d'une dizaine d'années, avec un visage tout rond et tranquille, et de beaux yeux noirs un peu obliques. Mais c'était surtout ses cheveux qu'on remarquait, des cheveux brun cendré qui changeaient de couleur selon la lumière, et qui paraissaient presque gris à la tombée de la nuit.
On ne savait rien de sa famille, ni de sa maison. Peut-être qu'il n'en voulait pas. Toujours, quand on ne s'y attendait pas, quand on ne pensait pas à lui, il apparaissait au coin d'une rue, près de la plage, ou sur la place du marché. Il marchait seul, l'air décidé, en regardant autour de lui. Il était habillé tous les jours de la même facon, un pantalon bleu (...), des chaussures de tennis, et un T-shirt vert un peu trop grand pour lui.
Quand il arrivait vers vous, il vous regardait bien en face, il souriait, et ses yeux étroits devenaient deux fentes brillantes. C'était sa facon de saluer. Quand il y avait quelqu'un qui lui plaisait, il l'arrêtait et lui demandait tout simplement:
"Est-ce que vous voulez m'adopter?"
Et avant que les gens soient revenus de leur surprise, il était déjà loin.
Qu'est-ce qu'il était venu faire ici, dans cette ville?
J.-M. LE CLÉZIO,
Mondo et autres histoires.

Notre professeur nous a demandé de rédiger la réponse à cette question:
-D'après vous, qu'est-ce que Mondo est venu faire dans cette ville?

CONTINUEZ À VISITER NOTRE BLOG ET VOUS VERREZ CE QU'ON A ÉCRIT!
("On", ici, c'est nous, les élèves du cours Supérieur 1 de l'aprem)

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Mondo-suite 2

À mon avis, Mondo est arrivé dans cette ville par erreur. Il avait quitté son pays six mois auparavant avec sa famille à cause d’une guerre civile qui menaçait la population. Donc, ils avaient pris un bateau dont ils ignoraient la destination.

Après avoir voyagé pendant des semaines, ils sont arrivés au premier port. Alors, Mondo, sans ranger ses affaires car il n’en avait aucune, s’est apprêté à descendre. Même si la situation dans le bateau était chaotique, il a pu retrouver sa famille parmi la foule. Avec beaucoup de difficultés, il les a suivis jusqu’au quai où tout était plus tranquille.

Il a pris son temps pour regarder le bateau s’éloigner petit à petit en laissant un doux sillage blanc derrière lui. L’air était pur et froid, c’était un air inspirateur qui annonçait de nouveaux espoirs. Envahi donc d’une inquiétude heureuse, comme celle qu’éprouvent les enfants la veille de Noël, il s’est adressé à la femme à ses côtés.

-« Alors, maman, où va-t-on habiter ? Où va-t-on travailler ? Où va-t-on jouer ? Qui seront nos amis ? »

Et la femme, un peu surprise, lui a répondu :-« Mais, mon petit, je ne suis pas ta mère ».

Georgina (cours Sup.1)

martes, 13 de abril de 2010

Le garcon flânait dans la ville. L'état de ses vêtements était lamentable, ses chaussures étaient trop grandes pour lui et son regard perdu avouait qu'il était affamé.
Il faisait des petits travaux occasionnels: couper le gazon des maisons du voisinage, ramasser les ordures en les mettant dans les poubelles et parfois héler un taxi pour un client.
De cette facon, il survivait, toujours surveillant, la peur toujours présente...
Si un inconnu apparaissait, il faisait l'impossible pour aller se cacher derrière les voitures ou dans les jardins. Jouant toujours à cache-cache avec l'autorité, il pouvait vivre en une inquiète liberté...
ANA MARÍA